Le projet “South We Go”
Le sud a beaucoup à nous apprendre.
Le projet est né d’un constat : la France n’a malheureusement pas le monopole des bonnes idées. Face aux nombreux problèmes que notre pays affontre, nous pouvons nous inspirer des expériences de nos voisins européens ainsi que des pays plus éloignés.
Frederic et Natalie, un couple totalement complémentaire a décider de partir pour au moins un an dans l'hémisphère sud, à la rencontre des cultures et des peuples.
Deux acteurs
Lui, le français, parisien, habitué des villes, du bruit de la circulation, des aléas des transports en communs et de l’administration complexe.
Elle, l’anglaise, grande voyageuse proche de la nature, a habité dans de nombreux pays et rencontré des cultures divers.
Lui, l’ingénieur de formation Arts et Métiers travaille maintenant dans le conseil en système d’information
Elle, a suivi une formation dans l'hôtellerie en Suisse pour se spécialiser dans la vente et le tourisme
Lui parle Français et Anglais mais également les langages du monde de l’informatique
Elle parle 5 langues, Anglais, Français, Allemand, Roumain, Arabe
Lui, baigne depuis plus de 10ans sur internet, est maintenant community manager de son réseaux d’anciens
Elle excelle dans la découverte des lieux peu commun, dans l’organisation de voyage
Un projet participatif
South We Go a pour objectif d’être constamment présent sur internet et de tirer le maximum des médias sociaux. Les internautes et les personnes locales sont invités à nous suivre et à réagir à notre expérience.
Des ambitions et des moyens
Informer au quotidien de l’avancement de notre projet est un objectif majeur. Ce projet doit vivre également sur l’espace numérique. Pour couvrir notre aventure et nos découvertes nous publierons régulièrement, texte, photos et vidéos sur notre blog, nos comptes Twitter et notre page Facebook.
Un réseau international
Ils s'appuieront également sur leur réseaux respectif : Elle sur sont réseau d’anciens élèves, d’amis, de connaissances professionnelles réparties sur la planète, lui sur plus de 30 000 Gadz’Arts dont un bon nombre expatriés aux 4 coins du globe. Nous irons également a la rencontre de ces expatriés pour recueillir leur regard critique sur notre société et leur terre d'adoption.